J’aime bien chercher la petite bête. Être assise dans une prairie et que cela virevolte tout autour. Bien que, malheureusement, cela se fasse de plus en plus rare. La différence est flagrante ces dernières années.
N’étant pas une spécialiste en entomologie, je ne vous ai mis que les noms généraux, lorsque je ne connaissais pas le nom spécifique.
Nos prairies recèlent des trésors cachés. Saviez-vous qu’il s’y trouvait des « tigres de l’herbe » ? Ce sont les mantes religieuses (Mantis religiosa) qui sont surnommées ainsi.
Dans les prairies sèches, on peut y observer l‘ascalaphe soufré, un mélange subtile entre une libellule et un papillon.
Il y a également la syrphe (Syrphidae), une mouche qui se prend pour une abeille.
Il est plus rare d’observer la trichie fasciée (trichius fascaitus) ou le sphynx des vignes (Deilephila elpenor)
N’arrivant pas à trouver Morphée n’y mon chat, je repense au matin d’hier dans le parc Liotard, ou j’ai vu un oiseau aux ailes dorées, noires au long bec orangé qui m’a laissé sans voix et charmé.
Faisant le hibou, fouinant sur le @ pour tenter de trouver cet oiseau, j’arrive sur votre site, votre Insta, FB.
Quelle surprise de m’être laissé aller à de découvrir votre univers. Votre copain l’écureuil, la soupe de lentilles, une peluche en amour avec sa marguerite, une mante qui – pas sur de sa religiosité – n’y de son romantisme – n’y de son but et ne me rassure pas sous nos latitudes, votre regard sur l’eau et sa rondeur, un « maous », tabac d’Espagne …..
Merci de ce partage
afl
Bonjour, merci beaucoup pour ce message poétique. Le bel oiseau aux ailes dorées, noires au long bec orangé, était-ce un étourneau sansonnet avec des reflets multicolores dus au soleil ? Bien cordialement. Natacha