Belle-Île-en-Mer est une destination idéale pour les amoureux de la nature.
C’est un lieu qui se mérite. Depuis Genève, cela tient de l’expédition. Cependant, il est possible d’y aller en transport en commun.
Nous avons pris le TGV jusqu’à la gare de Paris gare de Lyon. Dormi une nuit à Paris. Puis nous sommes repartis de la gare de Paris Montparnasse jusqu’à Auray, puis pris le train surnommé le tire-bouchon jusqu’à Quiberon. Et depuis là, le ferry jusqu’à Belle-Île.
Nous logions à l’hôtel, le Grand-Large, Il est situé au sud de l’ìle à quelques centaines de mètres des Aiguilles de Port Coton. La salle du restaurant offre une vue absolument magnifique sur la côte déchiquetée.
La nature autour est sauvage et préservée. Il y a la côte où l’on peut voir des goélands argentés, des huîtriers pies, des graves et des cormorans. Dans les landes où fleurit la bruyère vagabonde, il est possible d’observer des fauvettes pitchous, des chardonnerets, des pies-grièches écorcheurs et des linottes mélodieuses.
Lorsque nous avons fait une promenade à vélo, nous avons aperçu le long du chemin des lapins, des lièvres et des faisans. Nous sommes allés jusqu’à la pointe des Poulains, très bel endroit où se situe le musée Sarah Bernhardt.
Le soir, nous allions admirer le coucher de soleil sur les Aiguilles de Port Coton. C’est un endroit très prisé.
Nous sommes allés début juillet lorsque l’île est encore relativement calme.