En réalité cette grande aigrette blanche (ardea alba) était réveillée depuis longtemps. Elle s’était posée une vingtaine de minutes avant. C’est après s’être toilettée (la séquence entière ici) et ébrouée comme un chien qu’elle a eu cet air ébouriffé look « je viens de me lever ».
Elles étaient deux, chacune dans « son » champ.
Celle-ci avait la particularité de ne pas être dérangée par les passants et les chiens. Le chemin était à environ une cinquantaine de mètres d’elle.
En rampant, puis cachée derrière un arbre, j’ai pu l’observer à une vingtaine de mètres.
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