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Étiquette : bécasseau variabe

Un bécasseau variable ami avec un tournepierre à collier

Comme tous les mois de septembre, les bécasseaux variables étaient au rendez-vous. Le mois de septembre est le mois des limicoles par excellence.

Le bécasseau variable étant le plus commun, est celui dont nous avons le plus de chance de voir.

Ce bécasseau variable (Calidris alpina) partageait le gite et le couvert avec un tournepierre à collier (Arenaria interpres).

Ils n’avaient pas du tout le même style dans leur façon de manger. Le bécasseau recherchait, d’une démarche affairée, son corps à l’horizontal des vers et des insectes en plongeant de temps en temps son long bec noir dans la vase, alors que le tounepierre soulevait les algues gisantes afin d’y chercher, dessous, des mollusques et des crustacés.

Leur recherche de nourriture se faisait parfois à quelques centimètres l’un de l’autre.

À vrai dire, je ne sais pas s’ils ont amis et s’ils voyagent ensemble. Cependant, j’aime imaginer une amitié inter espèce.

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Les bécasseaux variables sont de retour

photo ornithologique: bécasseau variable marchant sur le sable de la Nouvelle Plage des Eaux-Vives le 11 ocotbre 2020
bécasseau variable (calidris alpina)

L’année passée à la même période, j’avais vu deux bécasseaux variables le long du Quai Wilson.

Cette année, j’ai observé longuement celui-ci à la Nouvelle Plage des Eaux-Vives. Il était en compagnie de deux grands gravelots.

Il y a également deux bécasseaux qui préfèrent se cacher dans la roselière.

Le mois d’octobre est une bonne période pour voir les limicoles. Récemment un vanneau huppé a été vu volant en dessus de la jetée des Pâquis.

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Bécasseaux variables

photo ornithologique: deux bécasseaux variables au niveau du quai Wilson à Genève le 13 octobre 2019
bécasseaux variables (calidris alpina)

Quand j’ai vu dimanche ces deux bécasseaux variables longeant les rives du Lac Léman, cela a fait ma journée. C’était la première fois que j’en voyais en Suisse d’aussi près.

Ils faisaient des allers-retours avec leur démarche chaloupée, s’arrêtant fréquemment pour sonder la vase et picorer.

L’automne est la meilleure saison pour avoir des chances d’observer ce limicole à Genève. Il y fait une escale lors de sa migration vers ses quartiers d’hiver.

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