Saisir ce grand gravelot juvénile (Charadrius hiaticula) n’a pas été une mince affaire.
J’ai longé, sous une pluie battante, avec en arrière fond, le tonnerre qui grondait, une grande partie des berges.
Finalement, je l’ai trouvé sur la place avec un bécasseau variable.
De temps en temps, ils se nourrissaient chacun de leur côté et parfois, ils étaient très proches l’un de l’autre. Selon moi, ils migrent ensemble.
Au bout d’une heure, le bécasseau variable s’est envolé et le grand gravelot s’est couché. Il semblait vouloir faire une sieste, ses yeux se fermaient, puis ils les rouvraient pour surveiller les alentours.
Très belles photos, naturelles, sans chichi esthétisant…beaucoup de fraîcheur.
Et pour ne rien gâcher, très beau travail du blog : classement, thématiques, »marqueurs », on trouve tout ce qu’on veut facilement.
On sent que vous êtes partageuse, et drôle aussi.
Plus qu’un mot : merci !
Bonjour Claire, merci beaucoup pour votre très gentille commentaire. Cela m’a touchée et apportée le sourire. Je vous souhaite une très belle nouvelle année pleine de vitalité et de joie. Natacha